20 décembre 2008

Olivier Bardolle, sur la nature humaine

« C'est seulement quand ils sont bien malades qu'on peut approcher les hommes sans danger, les connaître un peu mieux. A un certain niveau de fièvre, ils perdent un peu de leur vice et cessent leur mascarade. Le meilleur de l'humanité gît dans les hôpitaux, à l'extérieur on ne rencontre que des prédateurs en puissance, intoxiqués par l'ambition et la surconsommation. »

Olivier Bardolle, Le monologue implacable, publié aux Editions Ramsay (2003)

2 commentaires:

  1. ANCIENS COMMENTAIRES (OVERBLOG)
    +++++++++++++++++++++++++++++++

    souhaite contacter Mr Bardolle dont j'apprécie particulièrement les prises de position que je partage à 95%

    scientifique venant d'écrire un thriller sur les folles sciences de demain, je souhaite son avis et peut-être sa préface

    merci de répondre

    F NOT de toulon

    Commentaire n°1 posté par fabien not le 01/06/2011 à 23h11

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  2. Heureusement que non , tout le monde n'est pas prédateur . Et d'autre part l'höpital et la maladie ne rendent pas les gens plus sympathique pour autant s'ils ne le sont pas dans leur existence quotidienne . Quelqu'un d'aigris le sera de la même façon alité dans un hôpital . Les infirmières en savent quelque chose .

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