les meilleurs meurent souvent de leur propre main
juste pour se libérer
et ceux qui restent
ne comprennent jamais vraiment
pourquoi
on voudrait
se libérer
d'eux
Charles Bukowski, poème extrait du recueil Le ragoût du septuagénaire (1990) / Éditions Grasset et Livres de Poche / Traduction de Michel Lederer.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Articles les plus consultés cette semaine
-
Les propos qui suivent sont tenus par Lucette Destouches , veuve de Louis-Ferdinand Céline. Ils sont extraits de l'ouvrage Céline s...
-
Cet espace commence à sérieusement prendre la poussière, et ça n'est pas en commentant un roman de 1941 que je vais le dépoussiérer...
-
« Dans nos sociétés monogames, se marier c'est diminuer de moitié ses droits et sa liberté ; mais, en revanche, c'est doubler se...
-
Note du 10 novembre 2011 : La version reproduite ici précédemment étant, comme l'avaient remarqué certains visiteurs, tronquée et typ...
-
« (...) La grande prétention au bonheur, voilà l'énorme imposture ! C'est elle qui complique toute la vie ! Qui rend les gens si ve...
ANCIENS COMMENTAIRES (OVERBLOG)
RépondreSupprimer+++++++++++++++++++++++++++++++
je sais maintenant quoi faire de mes mains....
Commentaire n°1 posté par mandrinmodern le 16/10/2010 à 20h50